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Pour les chrétiens, la fête de Noël célèbre une naissance extraordinaire, celle de Jésus, appelé aussi « prince de la paix ».
La naissance d’un enfant est toujours un beau témoignage de la vie. Il touche le cœur de tout être humain quelques soient ses origines, sa culture, sa religion.
Tandis que le wokisme veut effacer le passé ; que les laïcards sous le prétexte de la laïcité souhaitent mettre fin à nos racines chrétiennes, alors qu’elle doit garantir la liberté de conscience et du culte, ni l’un, ni l’autre ne pourra supprimer la fête de Noël, supprimer les crèches.
Si les premières célébrations de Noël, remontent au IVe siècle, la première crèche vivante de la Nativité, apparait selon la légende au XIIIe siècle dans le village de Greccio (Italie), au retour de Bethléem de St François d’Assise, en 1223.
Lorsque les parents, leur nouveau-né dans leurs bras, entourés de leurs familles et de leurs amis, c’est bien la reproduction vivante de la crèche de la Nativité, telle que la présentée St François d’Assise !
En ces temps incertains, dominés par la peur de l’avenir, la naissance d’un enfant est une promesse d’une vie nouvelle.
Faisons que pour la trêve de Noël, les armes se taisent, le joug des tyrans se brise, l’épouvantail de la société de consommation s’efface… pour que règne la vie et qu’elle resplendisse pour tous dans la paix et la joie.
La joie de se retrouver, membre d’une même famille, de se redécouvrir à travers la diversité des civilisations responsables des uns et des autres.
Le fracas du monde, même s’il recouvre le silence de la nuit, ne peut empêcher l’aurore de poindre. Noël est ce don.
L’annonce que la vie l’emportera sur la mort, la lumière sur les ténèbres, l’amour sur la haine, la joie sur la peine.
BON NOËL à tous.